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Les réponses à vos questions

Sur l'éolien en général

En France, l’électricité produite par des énergies renouvelables (hydraulique, éolien, solaire, méthanisation…) complète la production d’électricité des centrales nucléaires et à combustibles fossiles. Toutes ces énergies composent le bouquet énergétique français. L’éolien exploite une énergie locale, gratuite et infinie, le vent. C’est cet aspect qui permet de produire une électricité décarbonée et peu chère qui sont les principaux arguments du développement de l’éolien en France

 La Loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte adoptée en 2015 a pour objectif que la part des énergies renouvelables atteigne 32 % de la consommation finale brute d’énergie d’ici 2030. La France disposant de la 2ème ressource en vent d’Europe, l’éolien représente 9,5 % de la consommation électrique française au cours du premier semestre 2020 (source : Ministère)

 

24,5M de Français, soit près de 11 millions de foyers sont alimentés par les 13 760 MW du parc éolien installé (hors chauffage et eau chaude)*.

* Sur la base de l’hypothèse de consommation des ménages = 2 700kWh /ménage/ an – source ministère de la transition écologique et solidaire – 2019.

La publication de la Programmation pluriannuelle de l’énergie le 21 avril 2020 confirme l’importance de la filière éolienne, tant terrestre que maritime, dans la stratégie de transition énergétique portée par la France. Les objectifs sont ambitieux, puisqu’il s’agit de doubler la capacité installée d’ici 2028 pour l’éolien terrestre.

Les éoliennes contribuent-elles à la lutte contre le réchauffement climatique ?
 
L’énergie éolienne n’est pas une énergie fossile. En moyenne, une éolienne d’un parc français émet 12,7g de CO²/kWh sur l’ensemble de son cycle de vie (Source : France Energie Eolienne). Une éolienne n’émet aucun gaz à effet de serre lorsqu’elle produit de l’électricité puisque l’énergie provient d’une source naturelle et renouvelable : le vent. De plus, l’implantation d’éoliennes n’engendre pas un usage supplémentaire d’énergies fossiles pour compenser les heures sans vent. De ce point de vue, les éoliennes sont bel et bien une technologie qui nous permet de lutter contre le réchauffement climatique.

Le coût de production des énergies renouvelables et de l’éolien en particulier sont en constante diminution. En 2015, le coût de cette énergie était de 80€ par MWh, il est aujourd’hui en dessous de la barre des 60€/MWh, quand le nucléaire est proche des 110€/MWh (prix projeté pour l’EPR de Flamanville). D’ici un à deux ans, l’éolien se situera autour de 40 à 50 € par MWh, à parité avec le prix moyen du marché de l’électricité : il ne nécessitera plus aucun soutien particulier !

Pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter le site de l’ADEME, et notamment ce rapport sur l’évolution du mix électrique 2020-2060 en France (Source : ici)

Les éoliennes fonctionnent à des vitesses de vent généralement comprises entre 10 et 90 km/h. Un système permet d’orienter la nacelle afin que le rotor soit toujours face au vent. Les pales de l’éolienne captent la force du vent et font tourner un axe (le rotor) d’environ 15 tours par minute selon les modèles. L’énergie mécanique ainsi créée est transformée en énergie électrique par un générateur situé à l’intérieur de l’éolienne, dans la nacelle. Cette électricité est ensuite convertie à la bonne tension pour être injectée dans le réseau électrique par des câbles souterrains

Un vent inférieur à 10 km/h est insuffisant pour faire démarrer et tourner une éolienne. À l’inverse, un vent trop fort entraîne l’arrêt de l’éolienne, de manière à éviter tout risque de casse des équipements et minimiser leur usure. Ces arrêts pour cause de vents forts sont peu fréquents en France métropolitaine et sont souvent automatisés : ils ne dépassent pas 10 jours par an.

Quasiment toutes les éoliennes sont installées sur des sites caractérisés par des vitesses de vent en moyenne supérieures à 20 km/h. Les nouvelles éoliennes plus performantes, dites « toilées », peuvent être installées sur des sites avec des vitesses plus faibles. Les améliorations technologiques actuelles et à venir vont permettre de valoriser une plus grande part de la ressource en vent de la France.

Une éolienne peut être mise volontairement à l’arrêt pendant de courtes périodes pour réaliser des opérations de maintenance. Cette indisponibilité ne représente que 1,5 % du temps, soit environ 5 jours par an. Enfin, les éoliennes sont aussi mises volontairement à l’arrêt dans le cadre de plans de bridage qui sont décidés dans un souci de préservation de l’avifaune. Les éoliennes fonctionnent aujourd’hui entre 75 et 95% du temps (ADEME).

Source : Éolien, variabilité et stockage – France Energie Eolienne (fee.asso.fr)

Au 30 juin 2021 la France compte 2067 éoliennes installées, pour une puissance totale de 18 310 MW de puissance totale.

Source Statinfo – eolien (developpement-durable.gouv.fr)

Le coût de l’électricité produite par l’éolien est très faible. 1€ par mois et par foyer est le coût de l’énergie éolienne pour les français en 2018.

Plus précisément, pour l’énergie éolienne terrestre en France, le prix moyen est de 65,4€/MWh, un prix compétitif si on le compare à celui du nucléaire qui s’élève à 110 €/MW.

L’énergie hydrolienne est la plus coûteuse, avec un prix moyen de 300€/MWh.

Source : France Energie Eolienne Les coûts de l’éolien – France Energie Eolienne

Les retombées économiques d’un projet éolien pour la commune sont principalement de nature fiscale et proviennent de plusieurs taxes : l’Imposition Forfaitaire des Entreprises de Réseaux (IFER), la Contribution Economique Territoriale (CET) et la Taxe Foncière sur les Propriétés Bâties (TFPB).

Dans le cadre des projets de la Plaine d’Aunis, ces retombées diffèrent selon le nombre d’éoliennes implantées et la puissance unitaire des éoliennes sur le territoire de chaque commune et vont de 10 000 euros à 90 000 euros.

Pour atténuer l’impact visuel nocturne causé par la lumière rouge des éoliennes (balisage), un mécanisme de balisage circonstancié permettra l’allumage de cette lumière seulement après détection d’un aéronef en proximité des éoliennes. Ceci rend le balisage inactif 98% du temps. Tout est assuré grâce à un radar installé à proximité des parcs éoliens qui couvre un rayon de 36km.

Quelques sources en plus :

L’éolien en 10 question : ADEME

Paroles d’élus : Pourquoi l’éolien dans nos territoires : France Energie Eolienne (FEE)

Cela dépend des modèles utilisés. Plus les pales sont hautes et le diamètre large, plus l’éolienne produit. Aujourd’hui, les modèles d’éolienne installés en France ont une puissance de 2 à 6 MW. Une éolienne d’une puissance de 4,2 MW produit annuellement environ 9 240 mégawattheures, soit la consommation électrique d’environ 4 200 personnes.

L’électricité produite par les éoliennes converge par des réseaux souterrains au poste de livraison, un petit bâtiment installé à quelques mètres des éoliennes. Le poste de livraison abrite différentes protections électriques et un système de communication permettant d’optimiser et contrôler le parc à distance. Le poste de livraison est ensuite relié par Enedis à un poste source qui distribuera l’électricité sur le réseau électrique. L’électricité choisira le chemin le plus court entre l’endroit où elle est injectée sur le réseau et l’endroit où elle est utilisée. Ainsi l’électricité consommée sur le territoire est celle produite localement.

Selon l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME), la durée de vie moyenne d’une éolienne est estimée à 20 ans. Néanmoins, les nouveaux modèles sont garantis jusqu’à 25 à 30 ans selon les constructeurs. Par ailleurs, les parcs peuvent avoir une durée de vie bien plus longue grâce au « repowering » (implantation de machines neuves plus performantes, pour remplacer les plus anciennes).

En France, le démantèlement est à la charge de l’exploitant du parc éolien. L’arrêté du 26 aout 2011 modifié le 22 juin 2020 prévoit que le démantèlement concerne les installations de production d’électricité, les postes de livraison ainsi que les câbles dans un rayon de dix mètres autour des éoliennes et des postes de livraison.

Le démantèlement n’est en aucun cas à la charge du propriétaire foncier, de l’exploitant agricole ou de la commune.

Conformément à l’article R.515-106 du Code de l’Environnement et à l’arrêté du 22 juin 2020 précisant les modalités s’appliquant aux parcs éoliens, les opérations de démantèlement et de remise en état du site sont aujourd’hui parfaitement connues et cadrées par la loi.

Celles-ci sont à la charge du propriétaire du parc éolien, et en aucun cas à la charge du propriétaire du terrain.

Parmi les différentes règles édictées, les textes prévoient aujourd’hui l’excavation de la totalité des fondations est obligatoire dans le cas d’éoliennes installées sur des terrains à vocation agricole. Il est en effet important de souligner que l’éolien est aujourd’hui une technologie parfaitement réversible : en d’autres termes, et contrairement à d’autres moyens de production, il est tout à fait possible de démonter les installations et rendre au terrain sa vocation originelle dès la fin d’exploitation du parc.

D’autre part, la loi oblige également l’exploitant à provisionner, au moment de la construction d’un parc, une somme de 50 000 € pour les éoliennes d’une puissance inférieure ou égale à 2MW puis de 10 000€ par MW supplémentaire, pour pallier son futur démantèlement. A noter néanmoins que les premiers démantèlements réalisés en France ont démontré qu’un montant de 50.000€ par éolienne correspond au coût réel du démantèlement complété par la revente des éléments de l’éolienne à recycler ou réutiliser (revendus). Le reste à charge est amorti lors de la période d’exploitation de l’éolienne.

Ainsi, pour une éolienne de 4,2 MW, la somme à approvisionner par éolienne est de 72 000 euros.

En cas de défaillance de l’exploitant, ce qui n’est pour le moment jamais arrivé en France, le Préfet dispose de ces provisions mises sous séquestre par le porteur de projet au moment de la construction du parc pour démanteler le parc. En aucun cas, le démantèlement ne peut être à la charge du propriétaire du terrain, de l’exploitant agricole de la parcelle ou de la commune.

Source : Rubrique 2980 de la législation des installations classées pour la protection de l’environnement – Légifrance
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000042056014&dateTexte=&categorieLien=id

Une éolienne génère du bruit en raison du mouvement des pales et des éléments mécaniques. Ce bruit est néanmoins très discret et il existe une réglementation très stricte en la matière.

Une éolienne émet en effet un bruit aérodynamique dû au frottement des pales dans l’air puis un bruit de type mécanique lié au fonctionnement des éléments contenus dans la nacelle (génératrice, multiplicateur, etc.)

Au niveau du rotor, le niveau de bruit peut être proche de 100 décibels. Au pied d’une éolienne, le niveau sonore s’élève à environ 55 décibels. À 500 mètres (distance minimale entre une éolienne et une habitation), il atteint 35 décibels environ.

Les émissions sonores des parcs éoliens sont soumises à la réglementation des bruits de voisinage (décret du 18 avril 1995 et circulaire du 27 février 1996) qui repose sur l’évaluation de l’émergence chez le voisin du bruit particulier. Ce décret impose que le nouveau niveau sonore ne dépasse pas l’ancien niveau relevé de 5 décibels le jour et de 3 décibels la nuit.

L’étude acoustique permet d’identifier le niveau de bruit ambiant puis de modéliser celui après l’implantation du parc éolien. Pour cela, le bureau d’études pose des micros dans les jardins à proximité de la zone d’étude. Une fois le niveau sonore connu, le bureau d’étude va simuler le niveau sonore une fois l’implantation du parc avec différents types d’éoliennes.

Lorsque le gabarit d’éolienne est arrêté, un plan de bridage peut être mis en place si le nouveau volume sonore ne respecte pas la réglementation (arrêt ou diminution de la puissance des éoliennes sous certaines conditions de vitesse et d’orientation de vent).

Une fois le parc construit, des micros sont installés sur les mêmes parcelles que pendant l’étude acoustique afin de comparer les simulations à la réalité et permet ainsi de mettre en place de nouvelles mesures si cela s’avère nécessaire.

Afin de réduire les nuisance sonores, les fabricants apportent des améliorations technologiques à leur éoliennes : design optimisé des pales, matériaux composites et machines utilisant des engrenages de précision silencieux et coussinets amortisseurs. Les éoliennes récentes sont aussi équipées d’un système de serration, des sortes de peignes fixés sur les bords de fuite des pales pour réduire le son qu’elles émettent lors de leur pénétration dans l’air.

Si toutefois les habitants rencontrent une gêne une fois le parc construit, ils pourront le signaler à la mairie ce qui nous permettra d’installer un micro et de modifier le plan de bridage qui sera mis en œuvre.

De nombreuses variables entrent en compte dans l’évaluation de l’attractivité touristique, il est donc très difficile d’estimer l’influence de l’éolien sur ce sujet. Néanmoins, un sondage établit par la société IFOP a été réalisé à la demande de la FEE (France Energie Eolienne) en 2016 sur ce sujet ici. Cette enquête qualitative a été réalisée auprès de riverains, une enquête quantitative miroir et une enquête qualitative auprès des élus. C’est un jugement global positif en faveur de l’énergie éolienne. Plus de 70% des citoyens français ont une image positive de l’éolien.  

Par ailleurs, aucune étude ne démontre à l’heure actuelle que la présence d’un parc éolien entraine une diminution de l’activité touristique de la zone où il est implanté. 

Une éolienne fonctionne avec des vents compris entre 10 et 90 km/h. Avec les nouvelles générations d’éoliennes, nous pouvons aller chercher des vents de plus faible intensité, ce qui permet d’envisager une production électrique importante sur des territoires variés. Les risques d’arrêt sont donc réduits. En parallèle, les éoliennes sont prévues pour résister à des forces de vents très élevées. En cas de tempête, la procédure de mise en drapeau se met en place et a pour objectif d’arrêter la rotation du rotor, et de placer l’éolienne de manière à éviter la prise au vent. Les éoliennes installées en France sont en capacité de supporter une tempête avec des vents allant jusqu’à 250km/h.

Le retour d’expérience de plus de 20 ans de parcs en fonctionnement dans le monde entier montre que les éoliennes ne semblent pas avoir d’impact sur les élevages. De manière générale, aucun impact sur les animaux n’a été constaté : les vaches ne produisent pas moins de lait et la qualité de la viande n’est pas remise en question. S’il existe effectivement quelques cas isolés d’éleveurs ayant porté plainte contre un projet éolien qui serait prétendument à l’origine d’une baisse de la production laitière de leurs animaux, les experts intervenus sur le sujet (vétérinaires, géobiologues, ingénieurs…) ont conclu qu’aucune corrélation entre la présence d’éoliennes et l’apparition de ces phénomènes ne peut être établie. Les rares cas évoqués sont principalement liés à des problèmes sanitaires au sein de l’exploitation ou à des problèmes de mise à la terre.

La valeur de l’immobilier dépend de nombreux critères : activité économique de la zone considérée, opportunités en termes d’emploi local, services publics disponibles à proximité, état global du marché du logement, valeur du bien immobilier et évolution de cette valeur, localisation de la maison dans la commune, etc.

Les variations du coût de l’immobilier sont liées, en premier lieu, aux prix du marché et aux services fournis par un territoire (transports, écoles, déchets, etc.). Ainsi, l’implantation d’un parc éolien n’a pas d’impact sur la valorisation objective d’un bien. En revanche, il peut jouer sur des éléments subjectifs qui varient d’une personne à l’autre (certains apprécient les éoliennes, d’autres non).

À date, aucune étude ne montre cependant qu’il existe un lien entre la construction d’un parc éolien et une variation de la valeur d’un bien immobilier. Par ailleurs, certaines retombées liées à l’implantation d’un parc éolien assurent un dynamisme à la commune, entraînant une valorisation indirecte de l’immobilier via l’amélioration des équipements et des services communaux. Par exemple, à Saint-Georges-sur-Arnon (36) et Autremencourt (02), la taxe d’habitation a été supprimée et le nombre de permis de construire a augmenté depuis l’implantation d’un parc éolien.

La question remontant souvent, une étude sur les impacts des projets éoliens sur le prix de l’immobilier a été confiée à l’ADEME (Agence de la Transition écologique, organisme étatique). Les résultats seront connus en 2022.

Pendant la période d’instruction du projet l’avis des habitants, ainsi que des conseils municipaux, est pris en compte lors une enquête publique. En effet, l’enquête publique permet à la population de consulter toutes les pièces du dossier, poser des questions et de donner son avis sur le projet.

Après le recueil des observations du public et l’examen du contenu du dossier, le commissaire enquêteur (tiers indépendant, désigné par le Préfet) rédige un rapport favorable ou défavorable au projet qui aidera le Préfet dans sa décision finale.

Des photomontages seront disponibles dans le dossier du projet auprès des services de l’Etat. Ce dossier sera consultable lors de l’enquête publique.

Pour le projet de Loiré Sud – Eoliennes d’Aunis 2 : 3 éoliennes de 180 m de hauteur en bout de pale

Pour le projet de Puyvineux – Eoliennes d’Aunis 4 : 9 éoliennes de 200 m de hauteur en bout de pale

Pour le projet de Nord N11 – Eoliennes d’Aunis 1 : 5 éoliennes de 200 m de hauteur en bout de pale

Pour le projet de l’Aubertière – Eoliennes d’Aunis 3 : 4 éoliennes de 143 m de hauteur en bout de pale

Pour le projet de Loiré Sud – Eoliennes d’Aunis 2 : 758 m de distance entre l’habitation et l’éolienne les plus proches

Pour le projet de Puyvineux – Eoliennes d’Aunis 4 : 810m de distance entre l’habitation et l’éolienne les plus proches

Pour le projet de Nord N11 – Eoliennes d’Aunis 1 : 675m de distance entre l’habitation et l’éolienne les plus proches

Pour le projet de l’Aubertière – Eoliennes d’Aunis 3 : 781m de distance entre l’habitation et l’éolienne les plus proches

Depuis 2016, la société Eolise étudie la possibilité de développer des projets éoliens sur le territoire de la Plaine d’Aunis. Les résultats des études de faisabilité (études écologiques, paysagères et acoustiques, études de vent, études liées au raccordement et aux accès) réalisées entre 2018 et 2020, permettent à Eolise de proposer 4 projets éoliens sur les communes de Longèves, Angliers, Vérines, Sainte-Soulle, Saint-Médard d’Aunis, Saint-Christophe, La Jarrie et Aigrefeuille d’Aunis.

Le zone d’implantation des éoliennes sont choisies par les développeurs sur la base de nombreux critères, à la fois techniques, réglementaires, et contextuels (prise en compte des enjeux locaux). Un équilibre est à trouver entre :

  1. Le gisement éolien (mesuré au moyen d’un mât de mesure des vents) ;
  2. Les servitudes techniques (aéronautiques, hertziennes, distances aux radars) ;
  3. Le cadre de vie et le patrimoine local (enjeux patrimoniaux et paysagers) ;
  4. Le raccordement au réseau électrique ;
  5. Les enjeux environnementaux notamment, comme la faune et la flore ;
  6. Le terroir local (relief, végétations, hydrographie, distance aux habitations, etc.)

Elles ne sont pas encore choisies. Les appels d’offres et consultation des entreprises seront lancés une fois le projet accordé par le Préfet.

Une contrainte aéronautique liée à l’aéroport de La Rochelle est présente, mais prise en compte dès le lancement des études.